La différence entre une analyse de risque machine et un plan d’action sécurité machine
Dans le vaste domaine de la sécurité industrielle, deux concepts se distinguent par leur rôle clé dans la préservation des opérations et la protection des travailleurs : l’analyse de risque machine et le plan d’action de sécurité machine. Bien qu’étroitement liés, ces deux éléments jouent des rôles distincts et complémentaires dans le tissu de la sécurité industrielle. Dans cet article, nous allons détailler les différences essentielles entre l’analyse de risque machine et le plan d’action de sécurité machine, mettant en évidence leur interdépendance pour garantir un environnement industriel sûr et fiable.
Les jumeaux numériques
Un jumeau numérique est une représentation virtuelle d’un objet dans le monde physique, comme un moteur à réaction ou des parcs éoliens, ou même des éléments plus grands tels que des bâtiments ou même des villes entières. Il est mis à jour à partir de données en temps réel et utilise la simulation, l’apprentissage automatique et le raisonnement pour faciliter la prise de décision.
Changement de cap pour l’ISO 13849-1 :2023, tous azimuts vers la méthodologie de conception
Notre équipe se tient toujours à l’avant-garde des dernières progressions en matière de sécurité machine et de sécurité au travail. L’équipe d’Intervention Prévention a analysé et étudié la nouvelle version. Notre verdict est clair, la norme s’est améliorée et devient un outil encore plus performant. Cet article vous présente les changements dans la norme au niveau de la méthodologie et des outils de conception quelle offre, notamment dans ses annexes.
Examen de sécurité avant le démarrage
Le Pre-Start Safety Report (PSSR), soit Rapport de sécurité prédémarrage, représente la dernière étape dans le processus d’examen des aspects de sécurité d’une machine avant sa mise en fonction définitive.
Essai d’acceptation sur site (Site Acceptance Test)
Une fois installée chez l’acheteur, la machine se retrouve dans un contexte différent de celui de conception ou de fabrication. Elle sera confrontée à des contraintes qui n’étaient pas nécessairement existantes en usine.
Test d’acceptation en usine (Factory Acceptance Test)
Le Factory Acceptance Test (FAT), appelé aussi test d’acceptation en usine, est une étape de validation de la bonne conformité d’une machine qui doit répondre aux exigences avant qu’elle soit livrée à son acheteur.
Un achat de machines en toute sécurité, c’est possible avec Intervention Prévention !
Peu importe le domaine, les personnes impliquées en SST vous le diront… Il y a beaucoup de choses à savoir et à maîtriser pour rendre un environnement de travail complètement sécuritaire. Que ce soit les lois, règlements ou normes applicables, il faut rester à l’affût des courants de changements pour maintenir nos processus santé-sécurité à jour.
Sécurité des machines : changements réglementaires à venir
Le règlement sur la santé et la sécurité au travail (RSST) établit les exigences minimales pour assurer la sécurité et la santé des travailleurs. Plus spécifiquement, la section XXI du règlement concerne la sécurité des machines utilisées dans les établissements au Québec. Les modifications qui y seront apportées ont pour objectif premier de protéger la santé et la sécurité des travailleurs utilisant ces machines.
Des fabricants aux utilisateurs, en passant par les intervenants qui fournissent des machines ou des services liés à la sécurité des machines, tous sont concernés par ces changements réglementaires.
Introduction à la sécurité laser
Le terme « laser » provient de l’acronyme anglais « Ligth Amplification by Stimulated Emission of Radiation » qu’on peut traduire librement par Amplification de la Lumière par Émission Simulée de Rayonnement. Les technologies de source de rayon laser qu’on retrouve en industrie sont complexes, mais se résument simplement en une source de lumière dans un milieu réflectif qui concentre et oriente la lumière dans une seule direction. L’important à comprendre en sécurité machine, est que toute l’énergie rayonnante d’un laser se trouve concentrée en un point. L’énergie d’un rayon laser peut donc être élevée et dangereuse.
Les types de dispositifs d’interverrouillage
La réduction du risque est la phase qui conclut les efforts fournis durant toutes les étapes d’analyse et d’évaluation du risque, car c’est la phase où on agit directement sur les phénomènes dangereux de manière concrète.
La gestion des risques lors du nettoyage des machines dans le secteur alimentaire
La phase du nettoyage (ou sanitation) est une étape cruciale afin d’éviter que les consommateurs soient malade dû à une bactérie ou contamination. Pour ce faire les machines doivent être nettoyés et inspectés en profondeur afin de réduire le risque de contamination. Lors du nettoyage et de l’inspection le travailleur (se) doit se placer a risque régulièrement dû au fait que les zones dangereuses sont aussi des zones de contamination probable.
L’innovation au service de la sécurité industrielle
Le thème de l’innovation et la sécurité industrielle peut être abordé de deux façons. Il y a, tout d’abord le processus d’innovation « classique » qui consiste à se pencher sur une problématique donnée pour concevoir entièrement une solution qui n’existe nulle part ailleurs. Un second aspect du thème, est l’exploitation d’innovations issues d’autres domaines pour des fins de santé et de sécurité au travail.
Entreprendre des projets de sécurité : La valeur des gestionnaires externes
Le domaine de la santé et sécurité au travail devient de plus en plus complexe et plusieurs sous-domaines, qui sont souvent à haut niveau de technicité, commencent à apparaître ou à évoluer. La sécurité des machines représente l’exemple type de ces domaines.
Intégration de la sécurité dès la conception
Le plan d’action « sécurité machine » de la CNESST lancé en 2005 a certainement engendré une conscientisation et une amélioration de la sécurité de beaucoup d’équipements au Québec, bien que du chemin reste à parcourir. Il incombe aux propriétaires de s’assurer que leurs équipements soient sécuritaires. C’est la loi (LSST, 2020).
Analyse d’un accident machine qui aurait pu être évité
Selon les indicateurs annuels de l’IRSST sur les lésions professionnelles, le nombre d’accidents de travail a fortement diminué entre 2007 et 2012 (- 22% de lésions avec perte de temps indemnisée) (Duguay et coll., 2016). Cependant, en 2018, il y a eu 62 accidents de travail mortels (CNESST, 2019). Si l’on inclut les décès liés à des maladies professionnelles, 226 sont à déplorer pour la seule année 2018. Beaucoup de travail de prévention reste donc à faire.
Protecteurs : Nouveautés de la norme ISO 13857-2019
La norme ISO 13857 pour les distances de sécurité empêchant les membres supérieurs et inférieurs d’atteindre les zones dangereuses, avec la norme ISO 14120 concernant les prescriptions générales pour la conception et la construction des protecteurs fixes et mobiles, sont des normes incontournables pour la conception et la vérification de la conformité des protecteurs.
La tolérance zéro de la CNESST
Au Québec, la santé et la sécurité des travailleurs sont une priorité formulée dans l’article 2 de la loi sur la santé et la sécurité de travail LSST qui définit son objet par l’élimination à la source des dangers pour la santé, la sécurité et l’intégrité physique des travailleurs. La CNESST a identifié paritairement neuf points avec zéro tolérance qui concerne tous les milieux de de travail.
L’industrie 4.0 et la sécurité des machines
Aussi appelée industrie du futur, ou 4ième révolution industrielle, l’industrie 4.0 représente une nouvelle organisation des industries basée sur des nouvelles technologies se reposant sur l’interconnectivité entre les être humains, les machines et les ressources. C’est la connexion entre un monde virtuel d’échange et d’analyse de quantités astronomiques de données, et le monde physique réel.
La fixation de protecteurs fixes avec cadenas
Une des questions les plus posées concernant la fixation des protecteurs fixes, est celui de la possibilité d’utiliser un cadenas comme moyen de fixation (conformité de fixation avec un cadenas). Une question qui apparaît simple, mais qui devient rapidement ambiguë lorsque nous essayons de se baser seulement sur le texte des articles du règlement et des normes applicables.
La classification des zones dangereuses
Lorsqu’un équipement électrique est utilisé dans un endroit caractérisé par une présence de gaz ou liquide, fibre ou poussière inflammable, un risque d’incendie ou d’explosion devient plus considérable. Les endroits où ce risque est à prendre en compte sont appelés des emplacements dangereux ou classifiés. La classification peut se faire selon deux systèmes, soit le système des classes/divisions et le système des zones.